Nous connaissons maintenant le nom de l'entreprise qui doit, et a commencé à, raboter le bois de notre charpente et avons pu la contacter. Sa machine n'est toujours pas réparée : le technicien qui doit le faire n'arrive que lundi prochain. Donc, quand la machine à raboter est en panne, il faut plus d'un mois pour la remettre en route ... C'est le progrès ! D'après, la fille d'un ancien menuisier, avant, quand la raboteuse tombait en panne, il fallait une semaine pour la réparer ... Tout ça parce que le constructeur de la raboteuse, qui est allemand, a le monopole sur les pièces de rechange de ses machines ... Nous avons demandé à notre charpentier de contacter d'autres raboteurs pour le cas où le réparateur d'outre-Rhin n'arriverait pas à remettre la machine en état dans un délai raisonnable.
Dans tous les cas, nous prenons un mois de retard dans la vue au minimum et il faudra donc mettre les bouchées doubles pour finir les enduits avant la mauvaise saison. Toute aide sera alors bienvenue.
En attendant la charpente, nous avons toujours de quoi nous occuper. Par exemple, nous continuons à travailler sur le drain ouest que nous avons décoffré après avoir continué à remblayer avec de la terre.
Il reste à remonter le niveau des cailloux, et donc de la terre de remblai, sur la partie la plus basse du drain.
Nous nous occupons aussi du terrain : il y a pas mal de désherbage dans et surtout autour du potager.
Nous avons également ajouté quelques plantes dans la pente de terre sous les fraisiers pour la stabiliser (des lavandes et de l'origan).
Marie plante l'origan, qui semble avoir résisté au traumatisme son déplacement |
Les radis et les fraises donnent toujours une production abondante. Les rates commencent à montrer le bout de leurs feuilles avec plusieurs semaines de retard sur les francelines. De belles courges ont poussé à l'ancien emplacement du tas de compost alors que nous n'avons rien planté !
Nous allons également reprendre les essais d'enduits terre sur botte. Pour ce faire nous avons acheté un peu de sable (240 kg, c'est-à-dire trois fois rien) que nous mélangerons à notre terre pour limiter les fissurations au séchage.
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