Encore peu de choses concrètes visibles dans la maison, mais nous avons quand même avancé sur les préparatifs.
Nous avons retenu un mode constructif : des plaques de fermacell (en 1,25 cm d'épaisseur) montées sur une ossature bois (du douglas). L'ossature et les plaques seront séparées par 5mm de liège. Les performances acoustiques seront peut-être un peu moins bonnes qu'avec une ossature métallique mais nous n'avons pas besoin d'une isolation poussée. De plus, en se fournissant directement en scierie, l'ossature bois revient à moins cher que des montants métalliques. Nous remplirons les cloisons avec de la laine de bois, moins chère que la ouate de cellulose en panneaux pour des performances phoniques à peine inférieures.
Nous avons trouvé des fournisseurs pour les différents matériaux. Notamment, nous avons réussi à dénicher un magasin qui vend des plaques de fermacell à l'unité et dans toutes les dimensions, ce qui ne court pas les rues. Nous avons commencé à passer les commandes, notamment pour le bois et nous pourrons donc bientôt démarrer l'ossature. Nous avons également acheté des portes en sapin et en chêne massifs. Les portes sont tout à fait correctes pour de la 2e catégorie et sont nettement moins chères que la 1ère catégorie.
Nous avons également commencé à tracer les cloisons au sol et sur les poteaux.
Nous avons aussi travaillé sur la base des poteaux intérieurs. Comme tous les poteaux, ils reposent sur des platines métalliques, ce qui laisse un vide qu'il fallait boucher. Nous avons utilisé des chutes de volige de peuplier restant du plancher de l'étage et nous avons rempli avec de la laine de bois :
Pour l'occasion, nous avons testé la scie à onglet qui permet des découpes précises et le résultat est très satisfaisant :
Nous avons également commencé à tailler les plots de béton au pied des poteaux, aux endroits où ils gênent pour l'ossature bois. L'occasion de tester le disque diamant sur la meuleuse et de donner quelques bons coups de burin :
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire